Georges Grosjean
Gramme
Gramme
Comme l’alimentation, l’accès à l’énergie est un besoin essentiel et universel. À l’image du secteur agroalimentaire, les modes de productions et consommations, pour essentiel issus de l’après second guerre mondiale, doivent être revus. Plus raisonnés, mieux pondérés, avec Gramme j’entends unir ma passion pour les sciences et techniques avec ma volonté citoyenne de prendre part aux changements de paradigmes auxquels je crois. Les technologies associées au photovoltaïque ainsi que la régulation des réseaux évoluent vite et fort, en Belgique comme ailleurs, Gramme et moi en sommes et en serons acteurs.
Parle-nous de ton parcours
Au niveau académique, je suis ingénieur industriel en électromécanique, dispose d’un master en management ainsi que de ma licence de pilote privé.
Mes expériences professionnelles sont toutes liées au secteur de l’industrie, pour l’essentiel aéronautique.
J’ai occupé des fonctions de responsable projet, ‘process’ ainsi que de support technique à la ‘supply chain’ de grands groupes.
Ma passion pour l’observation et la compréhension des phénomènes naturels sont une source permanente de satisfaction.
J’aime apprendre, suis curieux de tout et trouve une réelle beauté aux fins équilibres de la nature. À ce titre, mes spécialités métiers se tournent plutôt vers la science des matériaux, là où mes hobbies, sommes toutes assez sobres, pointent sur le jardinage (en cultures associées ‘of course’ !) ainsi qu’aux randonnées.
Ma fascination pour le renouvelable photovoltaïque m’est « tombée dessus » tandis que je finalisais un projet de régulation des réseaux électriques à destination du gouvernement wallon. Parmi les analyses entourant le travail, je fus stupéfait de constater les progrès d’un secteur passé en quelques années « d’assisté » à moteur incontournable des nécessaires transitions énergétiques qui prennent place ici et partout dans le monde. J’ai rapidement senti que je voulais faire partie de cette dynamique en y engageant mes quelques expériences acquises.
Après un an et demi d’activité, nous venons de remporter un premier concours international et envisageons la croissance sur des projets d’envergure en Belgique et par delà.
Qu’est-ce qui t’a poussée
à venir chez nous ?
Mettre mes premières idées et perspectives à l’épreuve d’une grille d’analyse multimodale.
CréaPME, de par sa pratique des réalités, implique de passer de l’idée, du projet papier, à la mise en œuvre. C’est un révélateur. Le fait d’associer le travail de groupe, en avançant par phases, permet de verbaliser, de sortir de sa bulle, de profiter de critiques construtives.
Qu’est-ce que
CréaPME t’a apporté ?
Une rationalisation de la manière « d’étager » mon approche ; de prioriser certaine actions, de considérer des freins et ressources délaissées. La vue « 360 » en somme.
Tes conseils à ceux
qui veulent entreprendre
Soyez curieux de tout, tout le temps.
